Développer la biodiversité

Ruches Mont-Sion

NOS RUCHES

Et le Mont-Sion sera bien gardé !

Paragraphes

320 000 abeilles débarquent sur Liane !

ADELAC, concessionnaire de l’autoroute A41 Nord ouvre ses espaces à de nouveaux usagers : les abeilles ! Depuis le 26 mai 2014, de nouvelles ouvrières circulent sur l’autoroute LIANE, A41 Nord. Ces besogneuses foncent pour se rendre au plus vite sur leur lieu de travail : champs et espaces fleuris. Les abeilles dont le rôle consiste à veiller à la pollinisation, se sont très rapidement fait leur place sur le réseau autoroutier.

Ruches

Une action environnementale concrète

Transition écologique, aller plus vite ensemble...

A travers cette démarche, ADELAC affirme son engagement pour la biodiversité et souhaite sensibiliser ses clients sur des sujets d'environnement et d'écologie.

Dernièrement,  ADELAC s'est engagée au côté de son partenaire dans le financement d'un projet de ruches connectées afin d'éradiquer le frelon asiatique qui fait d'importants ravages sur les abeilles.

Notre partenaire Pollinium

pollinium

Les apiculteurs de POLLINIUM, société spécialisée dans l’installation de ruches en entreprise, gèrent les ruches pour le compte d'ADELAC. Après avoir séjourné en tête Nord du tunnel du Mont-Sion, à Présilly, les ruches ont été déplacées au dessus de la tête Sud du tunnel, à l'abri du vent, en direction d'Annecy . C’est près de 320 000 ouvrières qui ont commencé à butiner les fleurs des espaces environnants et œuvrent ainsi à la préservation de l’environnement.

Ruche

Bulletin d'information des ruches ADELAC - 2020

Bulletin d'information des ruches ADELAC :

2023

2022

2021

2020

2019

2018

2017

 

éco-pâturage

ECO-PATURAGE

Bienvenue aux moutons de nos bergeries de Haute-Savoie !

Qu'est-ce que l’éco-pâturage ?

L'éco-pâturage permet d’entretenir les dépendances vertes autoroutières sur des terrains sécurisés en bordure d’autoroutes grâce à des moutons ou des chèvres.

Ici, sur l'A41N, ce sont les moutons de la bergerie du Salève qui vont tranquillement paitre près des bassins proches du tunnel du Mont-Sion, ainsi que les moutons de la ferme de Ninin, aux abords de l'autoroute jouxtant la commune de Présilly.

En effet, dans des zones compliquées d’accès ou dans des zones où la végétation est envahissante, broussailleuse voire impénétrable, les chèvres et moutons peuvent accomplir l'entretien très facilement !

Ainsi, la tonte et le débroussaillage des espaces verts sont confiés à ces animaux choisis en fonction de la configuration du terrain, qui complètent efficacement l’entretien mécanique. Les races de chèvres et de moutons ainsi que les effectifs du troupeau sont définis par le chevrier ou le berger en fonction de la végétation à entretenir et de la surface. Chaque troupeau a un point d’eau et le moyen de s’abriter. 

Les animaux contribuent à une fertilisation réduite et naturelle des sols. L’absence de désherbant chimique préserve enfin la biodiversité.

Les races de moutons, ou de chèvres sont choisies pour leur capacité d’adaptation à nos terrains accidentés, leur appétence pour nos broussailles et nos prairies, leur rusticité, leur vivacité, leur faible imprégnation de l’homme. Les races ne sont pas des races laitières, à laine, à poils ou des races à viande communes. Les races de moutons sur notre réseau sont plutôt des races qui étaient menacées d’extinction ou de petit effectif qui sont soutenues grâce à ces éleveurs inscrits dans des programmes de conservation de race. On peut citer le mouton d’Ouessant, le mouton Solognot,...

Cette technique vise à supprimer les accidents du travail dus à des terrains pentus, et souvent à végétation dense, inaccessibles aux engins et nécessitant la manipulation de matériel portatif de coupe. 
Le berger ou le chevrier s’occupe de tous les soins et toutes les obligations qui lui incombe en tant qu’éleveur et propriétaires des animaux. Il vient très régulièrement vérifier le bon état de santé de son troupeau, vérifier la quantité d’eau et de nourriture et ajuster le nombre d’animaux s’il y a besoin d’agrandir ou de réduire le troupeau par rapport à la pousse de l’herbe.